
The paradise problem
Dans The paradise problem, Christina Lauren est au sommet de son art ! » – Ali Hazelwood, autrice de best-sellers sur la liste du New York Times
« Une intrigue torride, un cadre éblouissant, un humour étincelant. » Ali Hazelwood, autrice de best-sellers sur la liste du New York Times
Anna Green pensait épouser Liam Weston, pour accéder aux logements universitaires subventionnés d’UCLA. Elle croyait aussi avoir signé les papiers du divorce avant que leurs chemins ne bifurquent, diplômes en poche.
Trois ans plus tard, Anna vit tant bien que mal de son art tandis que West, qui est l’un des quatre héritiers du conglomérat Weston Foods, ne pourra percevoir le moindre centime de son héritage de cent millions de dollars qu’à la condition que son mariage dure au minimum cinq ans.
Sa famille faisant de plus en plus pression pour rencontrer sa mystérieuse épouse, Liam n’a d’autre choix que de se tourner vers l’unique personne qu’il redoute de présenter à ses parents richissimes et imbus d’eux-mêmes : son ex-femme au franc-parler souvent problématique, dont il n’a en réalité jamais divorcé.
Alors que Liam et Anna jouent au couple enamouré, ce n’est plus tant la capacité d’Anna– fougueuse, éclaboussée de peinture et au langage fleuri – à jouer son rôle qui inquiète ce dernier, mais plutôt l’influence toxique que pourrait avoir ce monde de privilèges sur quelqu’un d’aussi pur que son épouse, étonnamment équilibrée et loyale.
Pour Liam, le prix à payer de toute cette mascarade, sera-t-il à la hauteur du risque de perdre un amour véritable né d’un mensonge ?